« C’est écrit » Francis Cabrel........................
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Je ne peux tout caser dans mon titre,
même si je souhaiterais y loger
un Ours à qui correspond aussi cette chanson,
mea culpa,
mais son pardon fut sincère et puis partir
n'est pas forcément trahir,
nul ne ment toujours.
Et force m'est de dire que je nage
et plonge sans oxygène accroché
à mon dos, embout et tout.
Les palmes pas de palmier par pitié.
On ne sait rien et puis on sait trop tout.
On crie sa révolte et puis on va loin des puits.
D'autres restent auprès des anges
et là elle a nuages, étoiles pour lui.
Et lui a mes larmes qui le poursuivent.
« Route enchantée » oui, à mes funérailles,
au loin j'espère,
pour l'Ours de ma vie et son enfant,
celle qui est notre existence
en vie.
Je dois dire que j'aime les brouillards
et leurs formes qui dansent
le matin de toutes mes insomnies.
Là est la montagne.
Abattre les montagnes,
Ah non ! Elles n'empêchent le ciel
qui demeure ma mer de toutes les couleurs.
Si le bleu n'est, je l'imagine, il naît.
On est comme on naît, disait-il...
Sans doute mais pas d'affirmation de ma part.
Je dis on renaît, ce qui ne chasse naissance
et la suite « C'est écrit » qui sait...
JE CONTE LES JOURS,
SANS PLUS LES COMPTER...
AH ! L'AUTOMNE ma saison,
toutes je les aime,
les arbres me les racontent,
eux qui ne demandent nulle protection
et logent les oiseaux.
Les scies de malheurs
toujours me font peur.
J'ECRIS.
Maelle copyright 00047869
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