Je vois des fleurs dans les Images d’Amitié
Loin des tourments et du grand Vent
Je vois la Paix dans le coeur des gens
Quand je m'y penche pour rêver
Je vois les prés et l'herbe douce
Au loin des foules pressées
Je vois le soir lentement tomber
Pas loin du calme et de sa source
Je vois mes pages blanches
Et ose à peine m'y courber
Pour écrire ce que je sais
Des grands étés et des Dimanches
Les Dimanches sont les roses blanches
Des Jardiniers qui s'en vont en Silence
Promener et l'hiver et l'été
Leur âme pure de tout regret
Les grands étés sont la Lumière
Dans les cours grises de poussière
Et la poussière se dore des rêves
Que plus jamais les Jardiniers n’achèvent
Maelle copyright 00047869