Oiseaux hurlent à la vie quand loups chantent à la mort,
C’est présent que j’écoute et je sais ses défauts
Aux tourments d’un esprit qui reste libre encore
Et toujours se redit pour moi de trop de maux.
Difficile écriture quand je suis fatiguée…
Soutenir hurlements en entendant les chants
De ces groupes communs, stupides assemblées
A tuer mes oiseaux lorsque je me défends
De vous, de toi, de tout, pour rester seule envie
Des tombes qu’il m’a dites avec tellement de fleurs,
Beauté et vérité quand larmes je te suis,
Absente à retourner contre toi toute peur.
Et que chantent les loups quand hurlent mes oiseaux,
Prisonniers menacés de bien devoir se taire,
Mais je dirai nouveau les mots de ces bourreaux,
Ils semblent trop à ceux qui t’avaient mis en terre.
Et c’était sans compter lectrice, Baudelaire…
Maelle copyright 00047869
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