mercredi 15 juin 2011

Ophélia

Ophélia, ma douce, toi que j'ai tant aimée,
tu fais partie de ma poésie.
La peur au ventre, l'amour pour ton petit Rio,
c'était ta vie de pouliche trop vite mère.
J'espère que tu vas bien,
que mon espoir pour toi
et que tous nos regards fragiles
de tant de tendresse murmurée
ne furent pas inutiles pour toi.
Ce n'est pas de t'oublier
que je ne viens plus te voir.
C'est que la vie est parfois comme ça.
Tu n'es pas à moi Ophélia.
Je ne t'oublie pas.

Maelle

Aucun commentaire: